Je me sens géné quand ...

[spen]

pour l'instant quand j'en ai entendu parler c'était en général et je ne dis rien

en fait je parlais pas de propos homophobes mais de l'homosexualité, je voulais dire que quand j'en entends parler c'est plutôt en général et ce sont des avis des personnes présentes mais je ne dis jamais rien, j'essaye toujours d'éviter le sujet. quand on en parle autour de moi c'est aux réunions de famille en fait et moi je ne dis rien comme beaucoup d'autres d'ailleurs...

[spen]

pour être claire on m'a déjà dit "oh mais t'es homophobe toi ou quoi !!", même plusieurs fois.
quant au sujet "homosexualité" j'essaye toujours de l'éviter mais j'en entends parler quand même aux réunions de famille seulement, je ne dis rien (ce qui se voit moins que si on est 2 ou 3 évidemment !!), enfin je voulais dire qu'on m'a jamais confié des doutes à propos de ça et que de toute façon je ne connais pas d'homo.(je dois paraître répétitive mais ça m'avais pas l'air très clair ce que j'avais dit!)

[pierrepalay]

tkt pareil por moi tu décri exactement se q j ressent

[spen]

tkt pareil por moi tu décri exactement se q j ressent

c'est bien la première fois que je trouve qn comme moi !!

[popy]

Le sujet ne me gêne plus depuis 3 ans a peu près.
Même les questions connes, j'y réponds.
Avec patience...!
Les homophobes passifs m'amusent et je me délecte a les taquiner de façon espiègle.

[marfield]

La gène est partie peu à peu vis à vis de ma mère. Au début, j'avais un peu honte puisque je n'étais pas à l'image de celle qu'elle voulait de moi. Je savais qu'au fond, elle voulait que je ne le sois pas mais bon, elle s'y faisait, malgré tout. Alors dès qu'elle voulait aborder le sujet avec moi, je niais en bloc ou je changeais de sujet. Et vinrent les premiers chagrins d'amour suivis de déprime et toussa. Elle s'inquiétait pour moi et j'avais plus vraiment le choix de lui parler de ma vie privée. J'ai vraiment eu du mal à cracher le morceau d'ailleurs puisque pour moi, ça relevait à cette époque de l'intimité. (Même s'il n'y avait absolument rien de sexuel) Ça ne m'a fait aucun bien. Ça m'avait même fait du mal puisqu'elle savait que j'avais une vie amoureuse. J'étais passée au "pratique" et non au "théorique". ("pratique" dans le sens "avoir une (première) relation homosexuelle" et "théorique" dans le sens "je suis lesbienne mais j'ai jamais testé avec une fille"). Il n'y avait plus de doutes possible, j'étais bel et bien lesbienne. Avec le temps, j'ai commencé à m'y faire. Elle me posait des questions sur mes amours, comment ça se passait, si j'avais trouvé une fille (ou un garçon... l'espoir fait vivre). Et maintenant, quand je vais pas bien (vis à vis de ma vie privée), je m'adresse à elle sans aucune appréhension.
Elle est chouette ma maman. Parfois...

[pierrepalay]

coment sa je comprends paas ce qe bt vex dire

[spen]

je suis pas vraiment homophobe passive (ou peut-être finalement !) mais j'écoute plutôt les avis des gens mais comme quand on en parle il y a bcp de monde il y en a toujours un pour rattraper les autres !et si vraiment on me demande je dis que ce sont des gens comme tout le monde, que ça peut arriver à tout le monde et qu'on se rend compte seulement quand ça nous touche mais je ne me fais pas non plus la grande défenseuse (si c'est bien ça le mot)!

[pierrepalay]

t'as raison on est comme les otres après tout, mdr!!!

[spen]

bô oui !je suis foutue pareil qu'un hétéro (peut-être même mieux !lol !) et puis c'est pas marqué sur notre front qu'on est homo alors on est normal et comme tout le monde !