Encore une histoire d'ambiguité ;/

[PH+]

Et puis que s'il refuse, c'est que c'est une tapette

[Crown Prinz]

Mais si tu parvenais à le troncher juste avant de partir de ta boîte, ça serait quand même une fin assez classe, non ?

[Healer]

huhu !

Il faudra le mettre au pilori. (pratique pour faire ce que tu veux de lui )

Mais si tu parvenais à le troncher juste avant de partir de ta boîte, ça serait quand même une fin assez classe, non ?

Dis comme ça c'est très classe

[PH+]

Mais si tu parvenais à le troncher juste avant de partir de ta boîte, ça serait quand même une fin assez classe, non ?

Bé comme au début, je ne m'étais pas trop attardé sur le fait qu'il soit canon (je me suis plutôt attaché à sa personne "socio-psychologique") je n'y avais pas trop pensé, mais c'est vrai que maintenant que je sais qu'il n' y a rien de sérieux à tirer de cette histoire ( vu qu'il est soit hétéro soit bi "confus", et casé) l'idée de me le faire commence de plus en plus à me chatouiller...
D'autant plus que je me casse, donc rien à perdre même s'il m'envoie paitre

Des propositions?

[Crown Prinz]

Je comprends totalement que maintenant que tout cela n'est plus susceptible d'avoir de conséquence, tu ais méga envie de te le taper, c'est normal. A vrai dire rien qu'à lire ton histoire on a envie de se le taper, même sans le connaître !!

Ecoute, vas-y brut de décoffrage l'avant-dernier jour : à un moment où il fait chier avec sa tactilité à la con : PELLE ! C'est quitte ou double : pain dans la gueule, ou fini au plumard.

[PH+]

Je comprends totalement que maintenant que tout cela n'est plus susceptible d'avoir de conséquence, tu ais méga envie de te le taper, c'est normal. A vrai dire rien qu'à lire ton histoire on a envie de se le taper, même sans le connaître !!

Ecoute, vas-y brut de décoffrage l'avant-dernier jour : à un moment où il fait chier avec sa tactilité à la con : PELLE ! C'est quitte ou double : pain dans la gueule, ou fini au plumard.

Je prends.
Ma dernière semaine au boulot, dès qu'il me touche, je lui chope la main et je m'la fout dans l'slip. Allez hop, au chaud !

Pis maintenant qu'il sait que chuis pd, qu'il ne fasse pas comme si je l'avais pas prévenu

[Crown Prinz]

Bon ?? Alors ??? Tu lui as défoncé le fondement ??

[PH+]

Bon ?? Alors ??? Tu lui as défoncé le fondement ??

Non, malheureusement.

Il s'est passé des choses bizarres entre le moment où j'ai annoncé mon départ et mon dernier jour au boulot, mais sans que cela m'avance sur quoi que ce soit.

D'abord, je ne pensais quasiment plus à cette histoire, j'ai été complétement excité par une proposition de travail qui va peut-être me permettre de me casser à l'étranger dans quelques mois/années, et je commençais à en avoir marre du jeu de séduction que j'entretenais avec mon collègue (on en est arrivé aux massages et autres attouchements ridicules)

Je l'évitais donc un maximum et je restais de marbre devant son regret par rapport à mon départ (j'avoue même que j'y prenais du plaisir)

Il y a quelques semaines, on s'est vu, avec d'autres collègues en dehors du bureau, et là je ne sais pas si c'était juste moi qui me faisait des films, mais j'avais vraiment l'impression qu'il ne me lâchait pas des yeux.
On s'est revu une seconde fois, dans le même contexte, et vu qu'on s'était légèrement torché la gueule, on a pas arrêté de s'envoyer des vannes qui ont parfois atteint le summum de l'amertume et de la méchanceté, au point de susciter des soupçons parmi nos collègues qui se demandaient s'il n' y avait pas des histories d'hostilité entre nous.
Les regards ont été plus accrues que jamais, je lui ai demandé, de manière un peu agressive "Pourquoi tu me regardes comme ça?" il réponds "rien", quelques minutes plus tard, c'était lui qui posait la question, et moi qui répondait la même chose...

Vu que j'étais bourré et que je le trouvais plus beau que jamais, je faisais de mon mieux pour ne pas l'avoir dans mon champ de vision ni même dans mes conversations. Rien n'y est fait, il trouve toujours le moyen de s'incruster, pour dire des conneries ou me traiter de "petite coquine" parce que je parle de mon futur patron de façon "spéciale" (il est riche et il aime les ambitieux, donc forcément il m'intéresse) ou parce que je commande des cocktails de "pouf"...

Bref, on a passé la soirée à guerroyer chacun à sa manière, à essayer d'enfoncer l'autre le plus possible.
Je suis outré d'en arriver là, mais ça me frustre tellement la façon dont il apparait au moment où je m'y attends le moins pour ressusciter la flamme alors que je l'avais presque éteinte et j'espère de tout mon cœur qu'il souffre autant qu'il m'arrive de souffrir (que ce soit de jalousie/rivalité ou de désir, peu importe)

Je suis comme en période "post-opératoire", je sais que ça ira mieux après, mais si je ne m'occupe pas à longueur de journée, la douleur vient d'un seul coup et j'ai juste l'impression d'exploser. Je suis continuellement furieux et ça se ressent autour de moi.

Si seulement je pouvais me procurer une poupée vaudou à l'effigie de mon collègue, ça m'aurait calmé de la mutiler.

[inconnu n]

N'oublie pas que vous étiez imbibés. Et à mon avis, vous devriez essayer (plus facile à dire qu'à faire), d'oublier la fierté, et les trips du genre "je fais pas le premier pas, j'attends qu'il le fasse", "je le provoque quand même" etc
La proposition de Crown, justement, était parfaite de ce point de vue. On ne peut plus simple. Ça passe ou ça casse.

[PH+]

N'oublie pas que vous étiez imbibés. Et à mon avis, vous devriez essayer (plus facile à dire qu'à faire), d'oublier la fierté, et les trips du genre "je fais pas le premier pas, j'attends qu'il le fasse", "je le provoque quand même" etc
La proposition de Crown, justement, était parfaite de ce point de vue. On ne peut plus simple. Ça passe ou ça casse.

C'est lui qui sait que je suis pd et c'est lui qui a une copine, qu'il n'espère pas que je vais m'offrir sur un plateau, faut pas rêver.

Je ne cherche plus de solutions, je continue de toute manière dans ma lancée d'avant (me concentrer sur mon nouveau boulot et sortir rencontrer du monde)

S'il y a au moins autant de passion de sa part que celle que je lui porte, il trouvera le moyen de faire quelque chose, sinon ben tan pis. Je ne suis pas le genre à courir après les casés toute façon.

Quant à ma souffrance, elle s'estompera rapidement maintenant que je ne le vois plus.

Et ce qui ne tue pas rends plus fort.