- Je me dévalorise très/trop souvent. C'en devient presque insupportable. Pour anecdote, mes deux derniers dossiers où j'ai eu des super notes (ou presque), j'ai pas pu m'empêcher de dire en parlant avec mes correcteurs que je trouve que je méritais moins. Pas que à ce niveau là d'ailleurs que je me dévalorise.
- J'ai aucune confiance en moi. J'aurai presque plus confiance aux autres qu'en moi. Les autres sont surement meilleurs que moi. Dans tous les domaines, travail, sentimental, etc etc.
- Pourtant, je suis assez parano. Je me méfie quand les gens sont très content de me voir, et me montrent qu'ils m'apprécient. J'aurai presque l'impression qu'ils se forceraient parce que je leur fais de la peine (va savoir pourquoi).
- J'ai un peu trop d'imagination. Je me fais des films sur tout ce qui va pouvoir se passer. Du coup, soit je suis déçue parce que ça se passe pas comme ce que j'avais imaginé, soit j'ai peur de me lancer parce que j'anticipe des choses qui pourraient se produire mais qui ne se produisent pas.
- Je suis très/trop tète en l'air. J'ai du mal à me concentrer trop longtemps, parce que sinon je pars sur d'autres pensées, des trucs qu'ont rien à voir. Parfois je me retrouve en fin d'une conversation à dire "Ah oui, oui" en essayant de rebondir sur le dernier mot pour pas que ce soit grillé (quoique ça va un peu mieux, je sais me concentrer, en insistant un peu, quand il faut, ou quand ça m'intéresse).
- Je suis très/trop émotive. Je pars vite très loin pour un je ne sais rien, que ce soit joyeux ou de colère, ou de tristesse. Par exemple, dans un débat, je peux assez vite m'emporter si je sens que j'arrive pas à me faire entendre. Ou alors quand je suis à l'aise avec des gens, et contente, dire des choses un peu éperdu de sens juste pour le plaisir d'établir le contact avec eux.
- Primal dit qu'on peut souvent me perdre en route si on a le malheur de passer devant un musicien de rue, ou un truc sympa à regarder, ou des gens à qui parler.... mais que je reviens toujours sur mes pattes.
- Je culpabilise pour un rien, aussi. Quoique j'ai pu te dire, ou te faire partager, je vais me ronger les ongles, et peu de temps après probablement venir me faire pardonner... ou couper les ponts parfois tiens.
- Je parle plus avec mon visage que ma bouche; sauf si on me lance sur un sujet qui me passionne, et là je ne m'arrête plus.
(...)
- J'ai failli pas envoyer ce message parce que j'oublie des défauts et que je suis pas satisfaite de la manière dont j'ai rédigé tout ça, et ça me frustre. Pour une fois, je vais faire un effort et aller contre mon défaut de supprimer mes posts.
Pour certains défauts cités, je dois avouer que je travaille dessus; la culpabilité ou la confiance en soi par exemple
