Ca faisait longtemps que je ne vous avais pas parlé de Tanita Tikaram.
Pour ceux qui n'ont pas connu les dinosaures, Tanita est une chanteuse british (très United Colors of Benetton puisque qu'elle est d'origine indo-malaisienno-fidjienne, née en Allemagne, ayant vécu à Paris et en Italie). Elle a fait un carton planétaire à la fin des années 1980, alors qu'elle n'avait que 19 ans, avec
Twist in my sobriety, chanson extra-terrestre avec hautbois, clip bolivien, voix chaude et paroles énigmatiques.
Depuis, les années ont passé, elle a fait d'autres albums en prenant son temps, qui contiennent des pépites mais qui n'ont pas cartonné, elle a vécu dans plein de pays différents, elle s'est cherché côté look,
elle s'est trouvé une copine française...
Bref, elle revient aujourd'hui avec un nouvel album
Can't go back, que j'aime beaucoup, un album serein avec de belles ballades folk-rock, des mélodies soignées qui restent en tête l'air de rien,
et pas uniquement parce que j'adore sa voix et que je la trouve sexy.
Il est possible d'acheter l'édition spéciale avec en bonus 8 reprises acoustiques de ses plus grands tubes, dont celle de
Only the ones we love, qui est une tuerie (à défaut la
version originale dans sa période moi-aussi-je-peux-avoir-la-même-coupe-de-cheveux-qu'Elvis).
[youtube]r15nw1rgHNY[/youtube]
(Constance, ça vous change du mariage de Katie Melua et des jambes d'Anachoute

).