Blinded a écrit :Je viens enfin de terminer la troisième intégrale du trone de fer. Je vais attendre quelques mois pour commencer la quatrième (genre un ou deux mois avant la reprise de la série, histoire que ce soit frais). Maintenant, est ce que je me réessaie à la vallée de l'éternel retour d'Ursula le Guin ou entame-je la longue terre de Pratchett et Baxter ?
Il est difficile apparemment le Le Guin, j'ai une pote qui l'a lu (avis ici), mais le mix Pratchett Baxter doit être intéressant pour le coup ^^
Chez moi, après, Les trois médecins de Winckler (qui est meilleur que la Maladie de Sachs à mes yeux et plus instructif), la lancée se poursuit avec
Blinded a écrit :Je viens enfin de terminer la troisième intégrale du trone de fer. Je vais attendre quelques mois pour commencer la quatrième (genre un ou deux mois avant la reprise de la série, histoire que ce soit frais). Maintenant, est ce que je me réessaie à la vallée de l'éternel retour d'Ursula le Guin ou entame-je la longue terre de Pratchett et Baxter ?
Il est difficile apparemment le Le Guin, j'ai une pote qui l'a lu (avis ici), mais le mix Pratchett Baxter doit être intéressant pour le coup ^^
Le Pratchett-Baxter est excellent, il ne me durera pas longtemps. Il est néanmoins en deça de ce que Pratchett est capable de faire seul (je pense notamment à Nation que j'ai lu il y a quelques mois) et le rendu final a un petit arrière gout des princes d'ambre de Zelazny qui ne me plait pas toujours des masses.
Pour la vallée de l'éternel retour, je suis assez d'accord avec la critique de ton ami, c'est ce qui m'a fait lacher le bouquin deux fois. Mais bon, je ne suis pas venu à bouts de plusieurs Woolf pour me laisser arrêter par ça !
(C'est toujours bon d'avoir deux trois e-books de ce type sur téléphone ou tablette pour se geeker les neurones quand on s'ennuie, par exemple lors d'une conférence professionalo-chiante. Tout comme sont vitaux les podcasts lors des tâches pro répétitives ou inintéressantes. Et ça fait plaisir à la fin de la journée d'avoir l'impression d'avoir certes donné sa contribution de temps de cerveau à ce pour quoi on est payé, mais d'avoir aussi développé ses propres domaines de curiosité.
J'ai commencé hier soir "Les amies d'Héloïse" de Hélène de Monferrand
Roman épistolaire très agréable à lire pour le moment...
4e de couverture:
"arler de l'amour des femmes pour d'autres femmes comme d'une évidence est chose très rare. Mais parler des joies et des dangers de cet amour, montrer qu'il ne diffère en rien des autres amours, peu d'écrivains l'ont fait avec autant de liberté et de simplicité : jeu du hasard et de la séduction, puissance du désir, passion qui flambe et bouleverse d'autres existences, amour profond qui se développe parfois de façon imprévisible.
Des « liaisons dangereuses » de cette fin de vingtième siècle, c'est ce qu'a voulu écrire Hélène De Monferrand. Mais un peu plus encore, car elle nous parle aussi de la complicité, du rire, de l'amitié, de la solidarité qui se tissent entre ces adolescentes, ces jeunes femmes, ces mères et ces épouses, à travers leur apprentissage de la vie, personnelle et professionnelle. Des couples se font et se défont, des enfants naissent, désirés ou par hasard, mais elles demeurent soudées entre elles, en même temps que les trajectoires s'écartent, pendant dix-sept ans.
Pendant ces années, le monde change. La guerre a marqué ces vies. Les plus âgées ont vécu la Seconde Guerre Mondiale. La guerre d'Algérie, encore récente, a laissé ses traces, et après Mai 68 les changements de mode de vie, jusqu'ici imperceptibles, deviennent plus visibles.
Les personnages secondaires qui gravitent autour du groupe des Amies d'Héloïse ne sont pas là seulement pour les éclairer : ils ont une existence propre et nous touchent à leur tour, lentement, mais parfois à travers des coups de théâtre, au fil des lettres qui s'échangent, des journaux intimes qui s'écrivent ; ils prennent du corps, nous plaisent, nous déçoivent, nous tiennent en haleine."
Autant le film est tellement pourri que j'n'ai pas fait l'effort de dépasser les 10 premières minutes, autant le livre se laisse lire.
C'est que ça se fait rare des livres de science-fiction qui ne sont pas en mode "je me la pète je sais tout sur les sciences" (alors que le mec n'a jamais ouvert un bouquin de science de sa vie).
Oui maintenant j'ai du mal à lire ou regarder un navet de SF sans m'indigner à grand coup de "mais c'est n'importe quoi ce que tu viens de dire là, t'es pas crédible gars !", surtout les vieux navets. Pourtant c'est pas l'imagination qui me manque.
Je ne suis pas là, vous ne me voyez pas, ce n'est qu'une illusion. Rendormez-vous.
Oui maintenant j'ai du mal à lire ou regarder un navet de SF sans m'indigner à grand coup de "mais c'est n'importe quoi ce que tu viens de dire là, t'es pas crédible gars !", surtout les vieux navets. Pourtant c'est pas l'imagination qui me manque.
Oui maintenant j'ai du mal à lire ou regarder un navet de SF sans m'indigner à grand coup de "mais c'est n'importe quoi ce que tu viens de dire là, t'es pas crédible gars !", surtout les vieux navets. Pourtant c'est pas l'imagination qui me manque.
(C'est parce que tu ne lis pas de la bonne SF )
J'en lis aussi, mais pas que.
Si t'as des suggestion j'suis vachement preneuse !
Je ne suis pas là, vous ne me voyez pas, ce n'est qu'une illusion. Rendormez-vous.
"Moha le fou, Moha le sage", de Tahar Ben Jelloun. Je le commence ce week end. Un cadeau... (à moins que ça ne soit une façon de se débarrasser d'un livre qui n'a pas plu).
En alternance avec "Les vaches de Staline" de Sofi Oksanen, que j'avais laissé tomber.
Je dois commencer la lecture d'Hellraiser de Clive Barker, ça sera l'un de mes premiers romans horrifiques.
Généralement l'horreur c'est sur l'écran chez moi ^^