Ouaip, "le bleu est une couleur chaude" les graphismes sont trop sexy,
un jeu de couleur qui m'a rappelé le rouge dans sambre
(oui, bd romantique de mon adolescence, époque ô combien lointaine). Je remercie la meuffe qui m'a fait jeter un coup d'oeil dessus. Sisi, je suis sûre qu'elle passera par ici.
Pour les sorties de Pédé(tte), on a enfin le retour en france de TANK GIRL
pour les filles qui aiment les grandes gueules :

Cette éditions est complétée par tout plein de notes pour nous aider à comprendre les références (elle n'est plus toute jeune la bd).
Je ne peux pas vous en dire plus, pas encore trouvé le fric pour m'y relancer
(Lu des passages il y a bien longtemps, et j'avais vu l'adaptation en film lors de mon adolescence, époque ô combien lointaine).
Et pour le coup de coeur du moi, et pour ceux qui ne sont pas allergique à la bonne BD graphique, noir et blanc ...
....jetez un coup d'oeil sur les deux tomes de
Frances de
Joanna Hellgren.
Pourquoi ? Parce qu'une auteur qui a des lunettes aussi discretes ne peut qu'être sympa :
Parce qu'elle a un graphisme qui m'a touchée, un aspect enfantin, fragile, froid, je ne sais meme pas comment dire :
Parce que le scénario est vraiment chouette, sur deux sujets qui me touchent, l'enfance/adolescence, et l'homosexualité :
Frances est le premier volume d’une série dont l’action se situe en Suède, dans une grande ville, à une époque indéterminée, peut-être les années 30, au vu des costumes et des éléments architecturaux, au vu aussi du contexte psychologique général développé dans l’histoire. Il est question du poids de la famille et des préjugés sur les individus, du statut des femmes, de la difficulté de vivre librement et d’assumer ses choix, de celle aussi de trouver tout simplement sa place dans la succession des générations.
Dans ce volume, les deux personnages que sont Frances, la petite fille, et Ada, sa tante, sont traitées avec une égale importance. Deux points de vue, deux questionnements, ceux de l’adulte et ceux de l’enfant, se croisent avec une sensibilité extrême dans cette chronique familiale d’une grande finesse. Le personnage de Louise, femme écrivain, indépendante, un peu extravagante, assumant son homosexualité, incarne la possibilité de la liberté dans une société corsetée.
Désolée, le post est tout moche, mais je n'ai pas le courage de réhéberger les images pour leur donner une taille plus sexy.
C'est la vie, comme on dit...