Concernant mes frères, l'un deux m'assura que ça ne lui posait pas de problème, que je restais son frangin. Il me dit que chacun avait ses opinions. Je pense qu'il voulait dire que ce n'est pas un choix. Il me dit que c'étaient comme les fraises, certains les aiment, d'autres ne les aiment pas en comparant avec le fait d'aimer les hommes ou les femmes.
Quant au deuxième frère (un poète connu au niveau national - excusez du peu), il me confirma ce que je pensais : à savoir que le fait de connaître de nombreuses personnes de différentes cultures apporte une grande ouverture d'esprit, ce qui lui a fait accepter mon homosexualité. Ce qui l'a surpris, c'est que je le dise aussi tard. Je lui ai expliqué qu'il y avait un événement déclencheur. J'ai fait toute une lithanie, ce n'est qu'un résumé.
Ah, dernière chose...
...Ben moi, j'aime bien les fraises...
